Comment j’adopte la slow life à la rentrée : mon challenge !
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Inspiration

Comment j’adopte la slow life à la rentrée : mon challenge !

Le mois de septembre est arrivé avec son lot de rendez-vous et d’activités pour toute la famille. Pour ne pas être happé par ce tourbillon, je vous explique dans cet article comment j’adopte la slow life à la rentrée. Et comment le temps devient mon allié !

J’aime bien ce mois de septembre. Après l’été, je suis regonflée à bloc, j’ai envie de changement, de rectifier des points que je ne souhaite plus avoir dans notre vie, de bousculer nos habitudes. Tout ça dans le but d’être plus sereine au quotidien dans la gestion d’un planning familial parfois un peu trop chargé.

Après avoir passé un été au ralenti (par 35°C, pas vraiment le choix), un été à profiter de notre famille et de nos amis, j’ai décidé de garder ce rythme slow life pour la rentrée. Reprendre un nouveau rythme avec des bonnes habitudes. Je vous partage donc dans cet article comment j’adopte la slow life à la rentrée.

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La slow life, ou comment déjouer le piège du temps

On est tous pareil, je pense. On passe notre temps à se dire : « j’ai pas eu le temps », « quand j’aurai le temps », … Le piège du temps est non-stop dans notre quotidien. On court toujours. Courir après quoi ? Eh bien le temps, pardi ! C’est un cercle vicieux cette histoire ? 🤨 Donc le constat est clair : nous sommes en perpétuelle course avec le temps.

L’année dernière, lorsque je m’occupais seule des 2 enfants, c’était l’horreur. Je me sentais débordée dès qu’il y avait un grain de sable dans l’organisation : un enfant malade, un client qui reporte un rendez-vous à un créneau qui ne me convient pas (mais que tu es obligée d’accepter, hein !) Bref…

Tout était compliqué et je ne voyais pas d’issue. En réalité, je ne prenais même pas le temps de prendre du recul sur la situation. J’étais sous l’eau ! Mais le pire, c’est que je ne m’en rendais pas vraiment compte !

Notre départ en Espagne fut le meilleur bouleversement qui pouvait nous arriver ! Je vous vois venir, vous allez me dire que ce n’est pas vraiment dans vos plans de déménager à 2000 kms de chez vous pour changer de rythme. Bien sûr, le changement de pays n’est pas la solution à tout !

Ce qui est à retenir, à mon avis, c’est qu’il faut se faire violence et ne pas hésiter à bousculer toutes nos habitudes. Je ne suis pas coach de vie, psy ou autre thérapeute, mais je suis sûre d’une chose, c’est qu’à un moment je suis le changement que je veux être. L’année dernière, je n’étais pas prête et ouverte au changement. Je préférais me plaindre. Aujourd’hui j’ai changé ma vision des choses et basculé en mode positif et surtout en mode : j’ai le pouvoir ! 💪

Aujourd’hui, j’adopte la slow life au maximum dans mon quotidien pour réellement ralentir et m’alléger. J’en perçois déjà des effets alors que ça fait seulement quelques mois que j’applique certaines choses.

D’ailleurs je vous invite à relire l’article dans lequel j’explique comment notre expatriation nous aide à vivre en mode slow life pour comprendre d’où vient ma démarche et comment elle a commencé.

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Le constat : je perds mon temps inutilement ! 

Cet été, j’ai pris 1 mois et demi avec les enfants à la maison. Comprendre : travailler en demi-teinte (pendant la sieste, la nuit, quand papa est là). Pas vraiment le choix, mais au final, c’était une belle occasion pour stopper ma routine, profiter d’eux comme je ne le fais jamais durant l’année. Cela m’a surtout obligée à travailler efficacement pour pouvoir me libérer du temps pour eux.

J’ai aussi profité de ce temps libre pour réfléchir à ce que je voulais vraiment, à analyser mon quotidien. Mais où est-ce que je perds tout ce temps ? Rétrospective : je suis freelance donc, en théorie, libre d’aménager mon planning comme je l’entends. Mais pour autant, je me sentais autant débordée qu’à l’époque du salariat. 

En réfléchissant bien, je perds mon temps en étant constamment sur mon téléphone, constamment à la disposition de tout le monde (à la maison, des enfants, de mes clients), à me prendre la tête pour des futilités, à me mettre la pression sur la qualité de mon ménage, … je ne demande jamais d’aide (pensant que je suis capable de tout assumer), je  me surcharge inutilement. Bien souvent, je me tire une balle dans le pied dans mes choix et mes initiatives. Si vous ne voyez pas ce que je veux dire, voici un exemple :

  • Chéri : « On devait aller au restau avec les copains mais il est complet, du coup je me suis dit qu’on pourrait faire un barbeuc à la maison, on est à côté ! T’en penses quoi ? »
  • Moi :  « Bonne idée, c’est l’occase de voir tout le monde. Et puis on pourrait faire une soirée à thème, c’est plus sympa !

Mais en vrai, tout cela signifie : courses, ménage, rangement, faire ou commander des desserts, éventuellement faire garder les petits. Et le thème, on en parle 🙈 ??

Bref, j’exagère un peu mais pour vous dire que je monte la barre bien trop haute, mes ambitions ne sont pas toujours à la hauteur du temps que  dispose.

De plus, je me rends bien compte que je nourris mon quotidien d’inutilités. Aujourd’hui je veux changer ça !

Alors que j’aimerais lire plus, jouer avec les enfants, reprendre le piano, faire du yoga… Trouver le bon équilibre entre vie pro et vie perso, au lieu de courir partout et au final, ne profiter de rien.

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Comment j’adopte la slow life à la rentrée ? 

Ce mois d’été, tourné au ralenti, m’a mise sur les rails. Les rails de la réflexion. Maintenant je passe à l’action. Je trouve que ralentir, c’est réellement un acte qui s’organise et qui demande de l’énergie. Paradoxalement. 🙈

Voilà comment j’ai décidé d’aborder ma rentrée en mode slow life tant au niveau pro que perso. Certains trouveront que c’est ambitieux, moi je pense que ce challenge est accessible car certaines actions sont déjà enclenchées.

Je m’organise vraiment

J’adopte la slow life dans ma vie pro. J’ai aussi pris les choses en main à ce niveau. Je pense que l’organisation est la clé de ma sérénité. 

J’ai établi un planning type de ma semaine avec des jours dédiés au blogging, des jours dédiés à la prospection clients, des jours dédiés aux missions et aux projets. J’écris dans ce planning les grands objectifs de la semaine. Une to-do list complète mais réaliste. Des objectifs ambitieux mais atteignables. Avec des priorités. Des vraies priorités !! Dans une to-do list, tout ne peut pas être urgent !! Il faut faire des choix en fonction du temps qu’on a devant soit. Je reviens sur le sujet de la to-do list un peu plus loin dans cet article.

Auparavant, je faisais beaucoup au feeling : qu’est-ce que j’ai envie de faire aujourd’hui ? C’est bien et c’est l’un des avantages d’être freelance. Mais il faut réussir à se cadrer pour que les tâches qu’on aime un peu moins soient faites également !!

M’accorder des pauses salvatrices dans la journée

Prendre le temps de prendre un café le matin ! Me déscotcher de mon écran 2 à 3 fois par jour durant ma période de travail. On ne peut pas être au top de sa productivité de longues heures durant. Il est important de se ménager du temps pour reprendre des forces. Et accessoirement, changer régulièrement de position ou faire quelques pas toutes les heures est nécessaire pour ne pas avoir le dos douloureux ou les cervicales toutes nouées.

Je sais combien de temps me prend chaque tâche afin de donner des délais cohérents à mes clients. Pas de pression inutile. La vision de mon planning hebdo m’aide également à savoir ce que je peux accepter, ce que je réussirai à faire dans quel délai.

Selon le travail de la journée, je m’installe dans des lieux différents. Pour garder ma créativité, trouver de l’inspiration, je m’oblige à sortir. Ecrire un article de blog dans un bar ou sur ma terrasse ; les missions et la prospection dans mon bureau. Adapter mon environnement en fonction de la mission du jour m’aide à être plus productive.

Pour la maison, je m’octroie deux soirs pas semaine pour gérer les tâches ménagères. Le mardi matin sera le jour des courses (c’est le jour du marché) ! Notez bien, les tâches ménagères qui sont importantes pour moi et ma famille font partie intégrante du planning de la semaine et ne viennent pas s’ajouter à un programme déjà rempli. Cette organisation me permet d’être plus sereine.

La slow life ne veut pas dire ne plus être professionnel ou ne plus rien faire ou être comme un escargot toute la journée. Il s’agit simplement de réorienter son planning de manière à concilier productivité et temps libre. C’est ainsi que je l’envisage.

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Une to-do list mieux gérée

Vous la connaissez cette to-do list qui fait 10 kilomètres de long ? Il n’y a encore pas si longtemps que ça, c’était mon quotidien. Quand je barrais une tâche, une autre s’ajoutait ! Et ainsi de suite. L’affreuse sensation de ne jamais en venir à bout !! 🤯

Cet été, je n’ai pas fait une seule to-do list ! J’ai noté quelques priorités sur mon agenda tout au plus. Et je me suis sentie tellement libre ! Enfin, je n »étais plus prisonnière de cette épée de Damoclès au dessus de ma tête ! 

Sauf que, en tant que parents, le rythme de la rentrée nous la renvoie en pleine figure, cette fameuse to-do lis )lorsque que tu as oublié d’acheter le cahier petits carreaux que la maîtresse a demandé. Et puis, noter sur un papier tout ce qu’on a dans la tête permet de s’alléger aussi l’esprit.

En mode slow life, ma to-do list est aussi réorganisée pour gagner en efficacité et sérénité. La méthode que j’ai testée avant les vacances, et qui finalement me convient parfaitement, c’est la méthode des 3 colonnes.

  • Colonne 1 : Les priorités de la semaine (1 par jour max)
  • Colonne 2 : A traiter rapidement (court délai mais pas immédiatement)
  • Colonne 3 : Mes envies

L’objectif est d’alterner la colonne 1 et 2 avec la 3. Prendre du temps entre chaque tâche et que bénéfique. Lister des priorités qui le sont vraiment est un grand pas et c’est essentiel. Car quand on s’écoute (ou que l’on écoute son patron, son client), tout est prioritaire. Mais non !

Un temps pour chaque chose

J’ai beaucoup lu cet été. Si vous suivez mon actu sur instagram, j’ai lu beaucoup de livres sur le développement personnel, sur les relations avec les autres mais aussi sur la notion du temps. 

Ce que j’en retire c’est qu’arrêter de courir consiste aussi à arrêter de faire 3 choses en même temps. Je parlais de productivité plus haut mais là ce n’est pas la même chose. Être multi-tâches n’est pas de la productivité, c’est de la surcharge mentale.

Alors oui, nous les femmes, nous avons cette faculté de faire tout en même temps : travailler et superviser les devoirs de la fratrie, faire un jeu avec les enfants tout en organisant le planning du week-end, faire la cuisine en scrollant Instagram/Facebook/Pinterest et en pensant à la liste de courses… Mais c’est un piège ce truc ! Notre cerveau sature en informations. Il est en mode surchauffe !

Comme nous avons ce pouvoir (ou plutôt, comme nous pensons avoir cette faculté de dédoublement), on se sent obligée de l’utiliser pour faire plus de choses en un temps record ! Et parce qu’on va plus vite seule, on ne délègue pas. Et ensuite, on reproche à l’autre de ne pas savoir le faire (normal, il n’a pas le super pouvoir) donc conflit ! C’est un pouvoir qui devient toxique dans le couple et dans le quotidien.

Une tâche à la fois et concentrez vous bien sur celle-ci avant de passer à autre chose. Cela évite les actions en suspend ! On gagne en sérénité.

Moi, clairement, je dis stop à ça ! Une chose à la fois et c’est déjà pas mal.

Dans la vie, il y a des moments avec et des moments sans. Il faut l’accepter mais aussi se donner les moyens d’y arriver. Plus on fait de choses simultanément, plus on se sent débordée. C’est mon impression. Je pense que le meilleur allié pour palier à ce problème : c’est l’organisation et l’anticipation. Difficile à mettre en place, certes. Mais pas impossible ! 

Je suis la reine pour « optimiser mon temps » mais en réalité, je me noie.  Professionnellement quand je fais plusieurs choses à la fois, je perds plus de temps que je n’y gagne. Cela veut dire que j’arrête de checker les billets d’avion pendant le téléchargement d’une application, mon cerveau n’est plus concentré sur ma tâche, je vais mettre plus de temps pour me remettre dans l’action.

Donc chaque tâche en son temps pour la faire au mieux et ainsi être plus productive.

Certes, quand je fais le ménage, je m’autorise à faire plusieurs tâches simultanément pour gagner du temps. Je ne suis pas sadique non plus, plus vite expédié plus vite je passe à autre chose. 

Si vous voulez passez en mode slow life, à vous de trouver vos moments multi-tâches et vos moments où vous êtes complètement libérée du cerveau !

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Mieux communiquer, arrêter de supposer

L’année dernière, l’épreuve de la maman solo m’a beaucoup appris en termes de communication dans le couple. A force de non-dits, de suppositions, eh bien ça empire la situation. Ma grande force, c’est la supposition : si je fais ça, forcément il doit faire ça. Logique pour moi mais pas pour l’homme😉. En matière de communication dans le couple, on est très loin d’être parfaits mais depuis que l’on se parle, qu’on se délègue les choses oralement (ou par messages) et bien c’est plus facile. 

Exemple, monsieur passe tous les jours devant la boulangerie. Donc vous supposez qu’il va penser à acheter du pain. S’il ne le fait pas, clash inutile. Un sms pour lui rappeler et voilà ! Sinon, prenez du recul en vous disant : il n’y aura pas de pain ce soir, est -ce que c’est la fin du monde ? 

C’est valable pour toute situation. Demander, rappeler, déléguer les choses sont des actions qui me soulagent les méninges. Je ne peux pas penser à tout, pour toute la maison alors je me concentre uniquement sur ma priorité du jour. Sinon j’accepte que ce ne soit pas fait dans l’immédiat.

Supposer est un bouffeur énergie. Je dirais même que c’est toxique (surtout dans les relations humaines). Finalement, quand on y réfléchit bien on passe notre temps à supposer des trucs sur un futur qui n’est même pas sûr d’arriver. Spéculer sur le futur est un combat de chaque instant. J’essaye de relativiser quand je m’en rends compte mais je me crée des cheveux blancs à stresser sur des sujets qui, en vrai, n’existent même pas. Je travaille chaque jour sur ce point, (qui pour moi et le plus dur) et ce lâcher-prise m’apporte vraiment. 

Pour moi, la slow life, c’est arrêter de supposer aussi envers son conjoint et ses enfants. Laisser l’autre s’expliquer au lieu de supposer. Je me bats pour rester dans le moment présent.

C’est assez difficile car avec le temps, on (le couple) se connaît parfaitement donc je me repose sur lui mais quand ça ne se passe pas comme je l’avais imaginé, ça dérape. Je suis déçue. Donc je relative en me disant que l’homme et la femme n’ont pas la même manière de penser et que l’on doit perpétuellement s’adapter, adapter notre comportement ou notre communication. La communication est la clé de tout.

Accepter d’être imparfaite

Je pense que nous vivons dans un monde en perpétuelle compétition. Avoir une plus belle cuisine, offrir le plus bel anniversaire pour notre enfant, avoir la tenue la plus adaptée à la situation, … On se met trop de contraintes pour se « montrer » parfait vis-à-vis des autres. Être celle qui n’a pas de failles.

Mais c’est quoi le plus important ? Montrer quelqu’un que je ne suis pas ? Pour le coup, cette partie je la maîtrise bien maintenant. Avoir deux enfants en bas-âge nous oblige à être imparfaits au quotidien et surtout à l’assumer. On ne peut pas être partout et maintenant j’assume d’emmener mes enfants en jogging le matin à l’école, pas maquillée et parfois pas lavée ! C’est la vraie vie !

Rendre les enfants autonomes

Mon gros défi de l’année. Suzanne, du haut de ses 2,5 ans, est plutôt dégourdie ! Elle sait faire des choses à son âge que Louis ne faisait pas. Donc je pense qu’il est grand temps de les rendre le plus autonomes possible. Les accompagner dans cette autonomie pour leur donner confiance et pour me faire gagner du temps et de l’energie. 

Concrètement ça veut dire :

  • Adapter la maison pour qu’ils puissent faire eux-mêmes : porte manteau à leur niveau, marche aux lavabos, panier de linge sale accessible, … Certaines choses sont en place mais à voir comment améliorer cette accessibilité.
  • Mettre en place des vraies routines du matin et du retour de l’école. Nous avions commencé l’année dernière et certaines actions sont rentrées dans les habitudes. Par exemple : on rentre de l’école, on mets les chaussures/vestes et cartables dans le placard, on monte se laver les mains et enlever l’uniforme pour se mettre en pyjama. 

Le port de l’uniforme nous a imposé cette routine : le garder propre ou le passer en machine rapidement pour qu’il soit sec le lendemain.

L’autonomie des enfants est un facteur clé dans l’énergie du quotidien et pouvoir s’accorder une routine slow life, sans crier, sans courir partout après les affaires des enfants. Je pense que cela me prendra du temps et de l’énergie pour le mettre en place mais une fois acquis, cela sera une vraie bouffée d’oxygène ! Et les enfants en sont tout à fait capables !! Comment croyez-vous que la maîtresse parvient à gérer 25 bambins toute la journée ! Il y a des rituels et des routines immuables.

Mettre la machine à penser sur pause

La slow life est avant tout la libération du temps mais aussi de l’esprit. Pour vivre et savourer le moment présent, il est indispensable de mettre la machine à penser sur pause. J’ai 1000 idées à la minute donc c’est une action qui est difficile pour moi encore mais je m’y attèle pour reposer mon cerveau et être à 100% dans ce que je fais. 

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 J’adopte la slow life en 21 jours !

21 jours, c’est le temps nécessaire pour ancrer une nouvelle habitude à ce qu’il paraît. Chacun ses challenges, ses objectifs et ses priorités mais pour les atteindre, les moyens à mettre en place doivent être pérennes. 

Donc le mois de septembre sera pour moi un focus pour la mise en place de ma rentrée slow life. Cet article fait un peu office d’engagement. Cela va me pousser à avancer lorsque que j’aurai un coup de mou ou une fichue vieille habitude qui repointerait son nez ! 

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Voici comment j’envisage ma rentrée slow life !  Vous me suivez ? 

Alors avant de foncer tête baissée dans votre future routine, posez-vous et demandez-vous là où vous pouvez ralentir dans votre quotidien. Où sont vos moments « perte » de temps et d’énergie ?

La slow life je pense est avant tout un état d’esprit. Ralentir sera une finalité. 

♥♥♥ Emilie&Co ♥♥♥

Pour aller plus loin sur le sujet de la slow life, voici quelques ressources :

Epinglez cet article « Comment j’adopte la slow life à la rentrée » sur Pinterest pour le retrouver facilement.

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Comment j’adopte la slow life à la rentrée : mon challenge !

Article écrit en 2018 et remis à jour en 2022. Depuis 4 ans, l’état d’esprit slow life est dans notre vie quotidienne. Même s’il est plus difficile de garder l’esprit serein à certaines périodes de l’année, certaines habitudes d’organisation sont désormais bien ancrées et permettent de garder un bon équilibre entre vie pro et vie perso.

3 Comments

  • Tiphanya

    Comme toi j’aime beaucoup septembre qui me donne toujours envie de me lancer dans de nouveaux projets.
    Au niveau du boulot, je suis freelance et quand j’avais beaucoup de boulot j’avais tendance à ne plus faire de pause, pour « gagner » du temps. à présent, j’utilise la technique pomodoro, avec pause de 5 min toutes les 25 min, où je me lève de l’ordinateur (initialement je le fais pour préserver mon dos) et en fait, faire des pauses structurer (et avec chrono) était la meilleure choses à faire pour « gagner » du temps.
    Comme quoi la slow life, c’est quelque chose qui mérite qu’on y réfléchisse dans cette volonté de mieux gérer son temps.

    • Emilie&Co

      Bonjour Tiphanya, Je te rejoins tellement. C’est important de se préserver. Le piège d’être freelance c’est vraiment de ne pas réussir à s’arrêter. Il n’y a pas de limites. La technique pomodoro je la fais parfois mais j’avoue que je devrais le faire plus souvent.

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